Le coup d’état de Chéri-Bibi

Historique

Paru en feuilleton dans Le Matin sous le titre Chéri-Bibi, le marchand de cacahouètes, puis aux éditions Baudinière en 1926.

1925. LE COUP D'ÉTAT DE CHÉRI-BIBI

L'histoire

Ce n’est un mystère pour personne que, le « commandant Jacques », surnommé encore par ses ennemis « Subdamoun Ier », est mécontent du gouvernement. Il n’est même question à la Chambre des Députés que du coup d’Etat qu’il prépare. On attend que le député Carlier, soutenu par le président Bonchamps, dénonce les conjurés. L’arrestation de Jacques et de son ami Lavobourg paraît imminente.
Bonchamps meurt d’une indigestion et Carlier est retrouvé un poignard dans le coeur. Maladie et suicide providentiels ou double crime ? Jacques ne se pose pas la question, trop préoccupé par le souci de réussir son coup d’Etat avec l’aide de la belle Sonia, mais sa mère Cécily, marquise du Touchais, s’inquiète de ces morts qui profitent si bien à son ambition.
Elle a raison : Jacques est sans le savoir sous la protection du célèbre bandit Chéri-Bibi dont on connaît les ressources immenses et la vigilance impitoyable.